Nom:Joueuse de Poker
Age:46 lunes
Sexe:Femelle
Rang:/
Clan:Solow'
Caractère:(minimum 2 lignes complètes)
Savez vous jouer au poker ? Elle oui. Elle écoute avant de parler. Elle ne peut plus se faire fumer. Elle est trop forte. Lorsqu’on stresse, il faut rester calme. Faut avoir une tête toute neutre. Comme Joueuse de Poker lorsqu’elle marche au milieu des autres. Elle maîtrise sa voix, son visage et ses yeux. Vous le remarquerez lorsque vous marcherez à côté d’elle. Vous essaierez de l’imiter mais vous aurez du mal. Lorsque vous la croisez, Joueuse de Poker se compose une tête qui n’est pas celle qu’on lui connaît dans l’intimité. Elle fait une tête molle. Si on l’aborde, elle fait une voix neutre, et surtout elle fait des yeux ! Des yeux qui ne sont plus que des organes. Au milieu de l’agitation, Joueuse de Poker se promène comme si elle était seule. C’est sa barrière de protections face aux inconnus. Sinon, elle est trop vulnérable. Son regard n’accroche jamais quelque chose. Pourtant elle n’est pas aveugle. Elle met de la distance pour ne pas avoir le nez collé dans le pétrin. Ca lui laisse le temps de réfléchir. On ne peut rien lire dans ses yeux, c’est fait exprès. Elle toujours l’autre abattre ses cartes le premier, comme au poker. En fait, Joueuse du poker feignait de ne rien voir mais elle voyait tout. Elle feignait de ne rien entendre mais elle entendait out. On croyait qu’elle ne pensait rien mais elle pensait tout le temps. Elle faisait semblant de ne pas être là mais elle était là, derrière sa barrière de protection. On pouvait croire qu’elle ne comprenait rien mais elle comprenait tout ! Faut rester maître du jeu. A chaque situation son comportement. Faut savoir abattre la bonne carte au bon moment. Et surtout, il faut analyser le jeu de son partenaire, de son adversaire.
Physique:(minimum 3 lignes complètes)
Le bruit de la pluie qui martelait le sol dur répétait sans cesse la même mélodie. Mais elle n’était pas lassante pour les oreilles de la femelle, tapis dans l’ombre d’un muret. Ses jolies prunelles vertes admiraient les reflets de l’eau sur lesquels se dessinaient les rayons de lune argentés. Son fin et joli visage était à moitié masqué par la pénombre. Son pelage angora te brun tigré était dissimulé dans le décor nocturne. Seul sa moustache blanche brillait. Sa carrure était plutôt imposante. Mais c’était un effet donné par sa majestueuse robe. Son large museau s’imprégnait des senteurs de l’humidité. De ses larges pattes, on ne pouvait distinguer seulement ses longues griffes qui brillaient au clair de lune. Elle se releva avec grâce. Sur pattes, elle n’était ni trop grande ni trop petite. Sa jolie queue fournie faisait penser à celle d’un renard. Lentement, elle s’avançait. Sa robe plaquait par la pluie laissait ressortir des muscles puissants et joliment dessinés. Ils jouaient sous sa robe mouillée et à chacun de ses pas, ses épaules roulaient de façon régulière. La gueule entre ouverte, le bout de ses crocs était à peine distinguable de son menton blanc. Ses pas étaient silencieux. Son regard scintillant cherchait avec méfiance une éventuelle présence. Rien. Elle continuait donc, errant sous la pluie, son long et interminable chemin.
Histoire:(chaton : 4 lignes, apprenti 5 lignes, guerrier : 6 lignes, lieutenant : 7 lignes, chef : 8 lignes)
C’est tapi au fond de sa misérable cage, le museau glissé entre deux barreaux de métal qu’elle voyait avec peine sa vie défilée. Depuis combien d’année était elle ici ? Elle ne pouvait le dire, mais trop longtemps en tout cas… On dit toujours que demain est un nouveau jour. Mais pourtant, chaque matin, lorsqu’elle se réveillait, elle sentait toujours le sol dur qui meurtrissait son corps. La première chose qu’elle voyait, lorsqu’elle ouvrait ses beaux yeux verts, c’était cet endroit sombre et puant. C’est pourquoi, elle passait son temps à fixer la petite fenêtre qui laissait quelques rayons de soleil se poser sur le sol. Lorsqu’elle voyait la lumière, sa gorge se serrait. Qu’elle aurait aimé être un rayon de soleil. Libre et joli. Qu’elle aurait aimé apporter la gaieté à tous ces cœurs brisés qui se mourraient en silence dans leur prison. Parfois, même les rêves les plus étranges la laisser s’évader. Une nuit, elle était un oiseau. Elle s’envolait avec grâce de sa cage pour disparaître par cette petite fenêtre. Elle se posait sur une branche et laissait la lueur de la lune nimbait son beau plumage. La lune…Elle ne l’avait pas vu depuis quand ? Personne ne pouvait ignorer sa beauté imaginaire. Elle voulait la voire, ne serait-ce qu’une petite seconde. Ces derniers souvenirs remontaient à si longtemps que l’image de la nuit sauvage lui était floue. Tout espoir s’était envolé de son esprit et toujours, elle se répétait cette même phrase « Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses Adieu la vie adieu la lumière et le vent… » Et chaque soir, elle fermait les yeux alors que ces paroles résonnaient dans ses pensées et s’évanouissait en ne lui laissant que regrets et malheurs.
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